Tel

02 97 37 67 87

E-mail

ud56@cgt.fr

Horaires d'ouverture

Lun - Ven : 9h - 12h30 | 13h30 - 17h

[et_pb_section fb_built= »1″ _builder_version= »4.7.4″ _module_preset= »default » custom_padding= »12px||0px||| »][et_pb_row _builder_version= »4.7.4″ _module_preset= »default » custom_margin= »-46px|auto||auto|| » custom_padding= »3px||||| »][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »4.7.4″ _module_preset= »default »][et_pb_post_title comments= »off » featured_image= »off » _builder_version= »4.7.4″ _module_preset= »default » title_text_color= »#e02b20″ title_font_size= »28px »][/et_pb_post_title][/et_pb_column][/et_pb_row][/et_pb_section][et_pb_section fb_built= »1″ _builder_version= »4.7.4″ _module_preset= »default » custom_padding= »7px||15px||| »][et_pb_row _builder_version= »4.7.4″ _module_preset= »default » custom_margin= »|auto|3px|auto|| »][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »4.7.4″ _module_preset= »default »][et_pb_text _builder_version= »4.7.4″ _module_preset= »default »]

Toutes les semaines, un nouveau plan de licenciements est annoncé, venant s’ajouter aux centaines de milliers d’emplois déjà détruits. Avant l’annonce du nouveau confinement, l’Unedic prévoyait déjà 670000 nouveaux inscrits
à Pôle emploi fin 2020, pulvérisant la barre des 6 millions de travailleurs-euses inscrit-es, sans compter le halo du chômage.

[/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row _builder_version= »4.7.4″ _module_preset= »default » custom_margin= »-3px|auto||auto|| » custom_padding= »||5px||| »][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »4.7.4″ _module_preset= »default »][et_pb_image src= »https://cgt56.fr/wp-content/uploads/2020/12/visuel.UL_-1-5-decembre-2020.png » title_text= »visuel.UL_-1 5 decembre 2020″ _builder_version= »4.7.4″ _module_preset= »default » custom_padding= »|350px|||| »][/et_pb_image][et_pb_text _builder_version= »4.7.4″ _module_preset= »default »]

Alors que le nombre de chômeurs-euses explose, de grosses entreprises utilisent le coronavirus comme prétexte pour licencier et poursuivre leur course aux profits. Comme hier au nom de la compétitivité, le patronat et son gouvernement, font aujourd’hui payer la crise aux travailleurs-euses, à commencer par les plus précaires !

Au lieu de défendre les emplois existants, et de combattre le chômage en partageant le travail, le gouvernement continue d’abreuver le patronat de centaines de milliards d’aides publiques et d’exonérations de cotisations sociales, sans conditions de sauvegarde de l’emploi, ni de préservation de l’environnement.

Au lieu d’assurer une protection sociale à toutes celles et tous ceux qui subissent le chômage et basculent de façon massive vers les minima sociaux et la pauvreté, le gouvernement s’apprête à appliquer le reste de la réforme de l’assurance chômage au 1er avril 2021. Même avec quelques « aménagements », elle supprimerait complètement toute allocation à des centaines de milliers de travailleurs-euses précaires, notamment parmi les intérimaires, les saisonniers-ères, les travailleurs-euses précaires des hôtels cafés restaurants, du commerce, du tourisme, etc.

Ce serait la double peine pour les plus jeunes, encore plus touché-es par le chômage et la précarité. Licenciements, chômage, précarité, pauvreté ne sont pourtant pas une fatalité !

Dans le seul secteur de la santé, dans les hôpitaux comme les Ehpad, 400000 emplois manquent pour remplir les missions, après des années de dégradation du service public. Il en va de même dans le secteur de l’Education nationale, qui reste sous investi et qui subit encore des suppressions de postes. La relocalisation des emplois dans les services
publics en France est une nécessité contre le dumping social et est aussi un impératif écologique.

La création d’emplois, leur qualité, l’augmentation des salaires sont possibles avec le partage des richesses.

D’autres choix sont possibles ! Ensemble, mobilisons-nous le 5 décembre pour :

  • le droit au travail : toute personne a droit à un emploi de son choix;
  • • des embauches immédiates dans le privé et le public pour répondre aux besoins;
  • • des aides conditionnées à l’arrêt des licenciements, aux embauches, et au développement du droit
  • à la formation;
  • • une réduction du temps de travail à 32 heures pour travailler toutes et tous;
  • • l’annulation définitive de la réforme assurance chômage;
  • • l’ouverture de droits à toutes et tous, en commençant par une prolongation de tous les droits en cours
  • et la suppression des seuils d’accès à la protection sociale.

Lorient – 15 h – Place Aristide Briand
Belle-Ile – 15 h – Port

[/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row _builder_version= »4.7.4″ _module_preset= »default »][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »4.7.4″ _module_preset= »default »][et_pb_image src= »https://cgt56.fr/wp-content/uploads/2020/12/5-decembre-2020-appel.png » title_text= »5 decembre 2020 appel » _builder_version= »4.7.4″ _module_preset= »default »][/et_pb_image][/et_pb_column][/et_pb_row][/et_pb_section]

Articles recommandés